Dark Frames
Exposition Carlotta Gallery (Hertfordshire, Angleterre)
Commissaire: Carlotta Olympia Pompei
8 novembre au 1er décembre 2024
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Exposition bénéfice
Circa, art actuel
12 septembre au 19 octobre 2024

Hommage à Marc Tremblay
Exposition au Centre expérimental Inouï, Saint-Siméon.
352, rue Saint-Laurent, Saint-Siméon, QC, Canada, Quebec
28 juin à Octobre 2024

*Merci spécial à la commissaire Julie Andrée T.

Réalisme Magique
Exposition extérieure dans le cadre de Zoom Art dans les parcs. Il s’agit d’une exposition extérieure au Parc Bernard-Landry sur des panneaux d’expositions (Ville Laval).
24 mars 2024 au 24 mars 2026

*Merci spécial à la commissaire Geneviève Goyer Ouimette.

J’entre dans le paysage et je tombe amoureux (part 3)
Exposition à la Galerie du cégep Jonquière (Saguenay)
25 janvier au 8 mars 2023

*Merci spécial à Valérie Lavoie pour son magnifique travail de commissaire, au Département en arts visuels du Cégep Jonquière et CNE!

J’entre dans le paysage et je tombe amoureux (part 2)
Exposition à la Galerie Outremont (Montréal)
6 juillet au 27 août 2023


Collaboration avec Zou Desbiens (pièce en verre)

J’entre dans le paysage et je tombe amoureux (part 1)
Exposition extérieure à la Maison de la culture Maisonneuve
à la Place Gennevilliers-Laliberté, Montréal).
23 juin 2023 au 23 juin 2025

Francis O’Shaughnessy s’interroge sur le portrait dans le paysage. Il arpente le monde des grands espaces à la quête d’images non pas pour capturer ce qu’il pense, mais pour comprendre ce qu’il pense. Cette exposition met à l’honneur la technique photographique du collodion humide; une méthode chimique complexe qui remonte aux années 1850. En arrimant des procédés antiques avec la technologie d’aujourd’hui, l’artiste nous dévoile des prises de vues riches en poésie. Ces dernières dépeignent l’écriture du temps, des sentiments d’évasion et d’élévation de l’esprit.

Francis O’Shaughnessy est Docteur (Ph.D.) en études et pratiques des arts de l’Université du Québec à Montréal (2016) en création. Depuis 20 ans, il élabore une démarche prolifique, à la fois artistique et théorique, dans laquelle il explore la thématique de l’audace de vivre. Son corpus d’oeuvres en perpétuel (re)questionnement parle de l’humain : ses amours, ses balivernes, le rêve, le mystère et la quête de sens. Il a remporté la 2e place au Luxembourg Art Prize (Luxembourg, 2021). Actuellement, il est professeur en arts visuels et enseigne la photographie argentique au Cégep Marie-Victorin à Montréal (Canada). francisoshaughnessy.com

 

Le Vide
Centre d’artistes Agregat, Longueuil
4 mai au 31 juillet 2023

Dans mes deux oeuvres, j’aborde la question du vide dans le trop-plein de nos vies. Nous fuyons, cherchons à disparaître derrière nos pensées, nos écrans pour éviter l’intolérance du vide, un vide noir, insoutenable, qui fait peur. Dans cette fuite, nous nous isolons et déformons la réalité qui nous donne des vertiges, des vides créatifs, de l’insomnie. Comment faire fleurir un vide si vide au fond de nous en un je ne sais quoi positif, spirituel qui semble impossible à acquérir dans la société d’aujourd’hui? Je garde espoir que cette traversée de la douleur est nécessaire pour nous transformer.

 

 

Une infinité de vies heureuses

Exposition solo au centre d’artistes Le Lieu, centre en art actuel,
18 novembre 2022 au 7 janvier 2023 (avec prolongation)
19 novembre, conférence sur la slow photographie

La photographie est un instrument de connaissance que Francis O’Shaughnessy oriente vers les arts visuels. À la recherche de l’insaisissable qui l’habite, il arpente le monde des grands espaces pour parfaire sa vision du portrait dans le paysage. Depuis 15 ans, il élabore une démarche prolifique, à la fois artistique et théorique, dans laquelle il explore la thématique de l’audace de vivre. Son corpus d’oeuvres en perpétuel (re)questionnement parle de l’humain : ses amours, ses rêves, ses balivernes, le mystère et la quête de sens. Ses prises de paroles photographiques prennent force à travers des mises en scène (de portraits) dans le paysage. Ainsi, il opte pour une poésie visuelle qui valoriser l’art performance et l’installation; une cérémonie artistique qui vise la conception du poème en tant qu’événement photographique.

Durant la COVID-19, il fut difficile pour lui de poursuivre ses recherches photographiques, puisqu’il ne pouvait pas recevoir de modèles pour ses projets. Il a alors eu l’idée d’installer un appareil à soufflet devant un ordinateur pour convertir des représentations numériques en collodion humide. Il voulait revisiter des productions antérieures et réinterpréter des épreuves inédites réalisées dans les dernières années. De la sorte, il a arrimé des procédés antiques avec la technologie d’aujourd’hui.

L’exposition présentée au Lieu, centre en art actuel, réuni deux séries photographiques différentes qui se complètent bien. Dans la première, O’Shaughnessy propose des recherches en collodion humide, une technique photographique ancestrale. Méconnues du grand public, très peu d’artistes au Québec et au Canada pratiquent cette méthode chimique complexe. L’artiste met à l’avant des images qui font valoir la beauté des accidents, des imperfections et des qualités de flous sur des clichés en noir et blanc.

Dans la deuxième série, Il met l’accent sur son récent travail numérique en couleur qui se penche sur ses recherches en infrarouges. Ce travail fut réalisé dans des espaces sauvages. Cette série se complète bien avec la première, parce qu’il laisse au lecteur des balises visuelles pour qu’il puisse faire des liens avec ses préoccupations en collodion humide.

Vues de l’exposition
Photos de Carlos Ste Marie et Francis O’Shaughnessy